Soudas et les médias sociaux : l’inconvénient de savoir ce que les gens pensent…

Pour vous couper des pensées d'autrui, il restera toujours le chapeau en papier d'alu , assorti à l'ordi et au mobilier couvert aussi... Photo By Imelda Bettinger

En suivant l’actualité de ce début de semaine, deux dossiers mentionnaient Dimitri Soudas, le directeur des communications du Parti Conservateur. D’abord, il a fait pression sur les responsables de la nomination d’un nouveau pdg au Port de Montréal. Puis Chantal Hébert, dans un billet intitulé Quand la vérité n’a plus ses droits, portait à notre attention une déclaration manipulée (bien naïvement) par le PCC.

Il fut un temps où les politiciens et leur personnel affrontaient les médias, passaient au travers de la vague et mesuraient ensuite l’effet de la secousse dans leur revue de presse. Si on parle beaucoup de l’importance des médias sociaux dans la présente élection et surtout de leur utilisation par les politiciens, ce qui me saisit le plus, c’est le nombre de réactions que ces derniers reçoivent. En tiennent-ils compte? Certains, oui, d’autres n’en feront pas plus de cas qu’ils en faisaient de la mauvaise presse… Un ami blogueur disait souvent : l’ennui avec le Web, c’est que ça permet vraiment de savoir ce que les gens pensent…

Et Soudas qu’en pense-t-il? Cela reste à voir, mais jetez un œil sur ce qui se dit sur Twitter.

Nadia Seraiocco

Spécialiste relations publiques et médias sociaux | conférencière | blogueuse

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