C’est ainsi qu’il se qualifie lui-même dans une entrevue qu’il accorde à Marc Cassivi de La Presse. Je suis tombée sur ce texte en lisant Steeve Proulx qui en bloguait un extrait. Je vous en offre le commentaire de Jean-René sur la saga médiatique des cabanes à sucre au temps des accomodements raisonnables:
J.-R.D.: La dérive, ça été de travestir lidée de laccommodement raisonnable pour accuser les «maudites ethnies». La question quil faut se poser, cest: «Est-ce que ça brime quelquun?». Est-ce quil y a un Québécois qui a dû manger sa soupe aux pois sans jambon? Des fois, les médias sont tellement ridicules que je me dis que ne pourrai jamais faire mieux à Infoman. Jai assisté à une conférence de presse dAndré Boisclair à lUPA. Il y a un journaliste très sérieux qui a demandé à Boisclair et au président de lUPA, après lhistoire de la cabane à sucre: «Est-ce que vous pensez que le jambon dans la soupe aux pois est un incontournable?». Je nai pas assez de talent pour faire mieux que ça! Il faut être humble face à une telle performance. André Boisclair a répondu que les gens étaient en droit davoir des attentes raisonnables de manger du jambon quand ils vont à la cabane à sucre. Je me suis demandé si jétais vraiment en train de vivre ce moment-là!
Allez lire le reste par ici.