Je suis un peu nerveuse, puisque plus tard c’est le lancement du recueil de Stanley Péan, Autochtones de la nuit. Vous vous doutez bien que puisque l’on entend parler de l’auteur et puisqu’il suffit de googler un peu pour trouver toute l’information pertinente, je suis ravie. Ce qu’on oublie parfois lors de la parution d’un titre en librairie, c’est que dans son travail l’écrivain est le plus souvent soutenu, voire guidé par une direction littéraire. Quand cette dernière fait défaut on le remarque, quand elle a été efficace on félicite l’auteur… Stanley le souligne toutefois dans ce commentaire.
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