Au début de ma vingtaine, j’avais toujours plus d’amis de gars que d’amies de filles. Il n’était pas rare que je sorte avec une gang de gars pour courir les bars ou même aller faire des courses. J’allais prendre un pot avec les gars, ils essayaient de m’intéresser au hockey, je faisais la cuisine, ils faisaient la vaiselle… La situation a graduellement changée et je dirais qu’aujourd’hui, quoique j’ai toujours des amitiés très solides avec des gars, ma vie est pleine d’amies de filles et je tends à me lier plus vite avec les filles que les garçons.
En fait à 20 ans, je souhaitais surtout éviter les situations de crépage de chignons avec les filles, surtout pour des garçons… Je venais de passer du statut de garçon manqué à mannequin et je dealais plutôt mal avec l’attention que cela m’apportait. Avec les années, mon radar s’est amélioré et il n’y a de place dans ma vie que pour les filles hors du commun. Et, croyez-moi j’en trouve souvent sur mon chemin.
Tiens amusez-vous avec ces deux vidéos, À cause des garçons version 1987 et version Yelle, genre avant-hier…
Ça s’est passé exactement comme ça aussi pour moi. Sauf que les gars essayaient de m’intéresser au soccer. Et je suis contente que mes filles soient capables d’avoir des amitiés avec des gars et des filles, en fait avec des personnes intéressantes. Pas de crépage avec les filles et pas de gna-gna-gna avec les gars. Juste de l’amitié … entre humains.
Exactement! Mais disons que ton exemple avec tes filles ne compte pas pour des prunes comme dirait Lio pour continuer avec les références musicales douteuses. J’espère qu’on se verra à Québec très bientôt!
Pas sûr, on part le 13 pour rejoindre l’ainée à Berlin. On est très énervés. Et content.