Serez-vous surpris si je vous dis que je suis vaguement hyperactive? Tellement que je me fatigue souvent moi-même. Je fatigue un peu les autres aussi au passage. Juste comme ça. Cela dit, à tout moment, il me prend des envies de me débrancher, de ne plus donner de nouvelles, de ne plus en prendre, de ne plus être sur tous les réseaux sociaux à la mode. Comme à l’époque où je devais choisir entre le téléphone et Internet. Ça me laissait moins de possibilités. Alors j’écoutais de la musique en parlant au téléphone… Tiens, en ce moment je vous écris en écoutant les dernières trouvailles de Saravah, une étiquette que j’aime bien. Les rois du slowbizz qu’ils s’appellent, parce que, disait Pierre Barouh, «y’a des années où on juste envie de rien faire»…
Nadia Seraiocco
Spécialiste relations publiques et médias sociaux | conférencière | blogueuse
Voir tous les articles de Nadia Seraiocco →Vous pourriez aussi aimer
6 réflexions sur « Débranche, débranche tout »
Les commentaires sont fermés.
Bref, l’autodestruction de ton Treo était en réponse à une certaine nécessité intérieure de faire le vide…? 😉
Je ne l’avais pas vu comme cela, mais maintenant ça a du sens. Surtout que mon vieux cellulaire n’est même pas foutu de sonner un appel sur deux! Alors, je marche vers un débranchement progressif… Simplicité volontaire des communications.
Tu prépare ton départ pour le sud avec Sof et son amoureux du mois?
Le Fred> toujours prêt à projeter sur moi ce que tu aurais envie de faire…
On se débranche de tout… et on se fait un petit Poker?
Claude : t’es juste trop… c’est ça trop!