Quand ma mère m’appelle de sous le soleil pour me dire que je ne blogue pas assez, ça va mal. Et, disons-le, ce n’est pas la catastrophe, mais côté santé je me sens au plus bas. Pour bien commencer l’année, voire la décennie, j’ai choper une grippe − saisonnière ou l’autre, qu’est-ce que j’en sais, elle ne s’est pas identifiée − qui a commencé à se faire sentir le 31 décembre, a pris de la force le 3 janvier et m’a maintenue à l’intérieur jusqu’au 10 janvier.
Je m’en sors à peine et je dois admettre que la moindre activité me laisse exténuée. Je m’étais promis pour la nouvelle année de ne plus succomber à la pression du boulot, au point d’être sur la route toutes les semaines. Cette situation prévalait à l’automne et avant cela, dans mon autre emploi, je faisais encore plus de kilomètres.
J’ai donc l’intention de faire attention à moi et réévaluer mon état de santé pour trouver ce qui me cause cette baisse d’énergie.