Aujourd’hui mon copain Stanley parle de violence conjugale et tout particulièrement du passage de Christian Mistral à TLEP. Comme Stanley le rappelle, on retrouve ce thème dans son plus récent recueil de nouvelles, Autochtones de la nuit. Ce qui me touche beaucoup de son commentaire sur le sujet, c’est de constater que des hommes de ma génération – même si je suis beaucoup, beaucoup, plus jeune que Stan 😉 – parlent de ce sujet avec sensibilité en tenant en compte la souffrance de la victime, mais aussi la responsabilité de son entourage, plutôt que de se fermer les yeux l’air de dire, «ce qui se passe dans le couple ne nous regarde pas». En fait, quand quelqu’un me dit qu’une victime était folle ou hors de contrôle pour justifier des gestes violents, je rage.
Enfin, je vous raconte cela parce que ces temps-ci je suis particulièrement rassurée de constater que mes amis masculins prennent position sur le sujet, plutôt que de rester neutres ou ambivalents..
Il n’y a qu’une façon de règler cela:
http://moilavie.blogspot.com/2007/10/bize-le-journaliste-photographe.html
Bize
J’ai vu ça oui… Faut dire que dans les ruptures on pense souvent à laisser brûler son amour ainsi sur la place publique!