Dans un effort métaphysique, que dis-je pataphysique, je me suis appliquée à mettre en forme quelques-unes des questions très sous-estimées de notre quotidien.
Quand on ne pleure plus pour rien est-ce qu’il faut boire plus? Et si oui, quoi?
Si l’on a l’impression d’avoir tout vécu est-ce qu’on est trop vieux? Et si non, faut-il se challenger plus?
Lorsqu’on veut tout changer, est-ce parce qu’on s’ennuie? Et alors, de qui ou de quoi?