Depuis des années, je me fais un devoir d’être en congé le 27 juillet. Pourquoi ? Tout simplement parce que cette date marque le début de ce que ma cousine G. et moi appelons notre semaine annuelle de festivités personnelles, notre anniversaire quoi. Sa semaine précède un peu la mienne, mais nous nous comprenons très bien.
Or, cette année, je n’étais pas tout à fait en congé puisque j’avais une petite réunion en vue de mon prochain emploi. Au matin, mon M. proposa de me faire le petit déjeuner au lit, tandis que j’ouvrais mes premiers cadeaux. Il sortit donc quelques minutes, question d’aller chercher du café et quelques gâteries. En son absence, une amie de sa mère nous appelle pour nous informer que celle-ci s’est blessée et qu’elle est en route pour l’hôpital. Nous nous y sommes donc rendus aussitôt.
Ironie du sort, la pauvre J., adepte du saut en parachute et du pilotage d’avion, s’est littéralement cassé le dos en chutant d’un hamac sur sa galerie… M. et moi avons donc repris tous ses projets et engagements de la journée qui incluaient de cueillir un client à l’aéroport.
Côté gastronomie, la journée n’a pas été ce qu’elle promettait et plutôt que les gâteries que M. prévoyait pour moi, elle a commencé par un lunch à l’hôpital et s’est conlu par un burger à l’aéroport. Nous reprendrons donc les festivités ce soir, cette fois-ci l’âme en paix, puisque J. est de retour chez elle – privée de hamac pour quelques semaines, cela va de soi – mais en meilleur état qu’hier.
Cela peut sembler étrange, mais c’est quand rien ne va sans heurts que j’ai l’impression que tout est de retour à la normale ! Ça devrait être une bonne année…
Bonne fête et un très prompt rétablissement à J.!