Je n’habille plus l’échantillon ou comment une robe de cocktail peut vous faire regretter les bonbons mangés.

photo-117.jpgLors d’une conversation de boulot avec une ex-collègue, celle-ci me rappelait en riant que pour elle j’étais la fille aux cheveux très courts, habillée par le commanditaire dans les festivals où nous bossions. C’était à Québec, il y a presque 10 ans… J’avais de la chance, j’étais aux communications et comme on dit dans le milieu de la mode, j’habillais l’échantillon. Ce qui veut dire que je portais une taille 6 ans faite pour une fille de plus de 5′ 7″.  Et maintenant, bien mettons que mes cheveux sont plus longs… Je garde quelques morceaux de cette époque, dont cette splendide robe de cocktail, que j’ai prêté à Sof qui la portait pour sa crémaillère avec des bottes d’armée.

Que voulez-vous, les temps changent, la réalité c’est ce qui est maintenant. Or, plutôt que de rêver à ce qui pourrait être, je me tourne vers le look du futur… Je me transformerai donc en pinup d’après-guerre, une époque où l’on pouvait manger des friandises en paix 😉

Nadia Seraiocco

Spécialiste relations publiques et médias sociaux | conférencière | blogueuse

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4 réflexions sur « Je n’habille plus l’échantillon ou comment une robe de cocktail peut vous faire regretter les bonbons mangés. »

  1. Pas LA robe de cocktail? M’en rappelle encore, ainsi qu’une certaine soirée avec de la bière de commandite et de nos réflexions sur la, hum, question longitudinale d’une certaine partie de l’anatomie masculine…

  2. Oui, madame, la fameuse robe. La bière de commandite a des propriétés particulières, en ce qui a trait aux réflexions qu’elle suscite. Je me souviens de l’aspect scientifique qu’avaient pris nos propos, quand nous avons décidé de sortir la règle et de faire une charte.

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