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Grande faim, petits moyens…

Quand il est tout chamboulé et que les émotions prennent le dessus sur le ciboulot, c’est connu, le Québecois perd les pédales et comble le manque de mot par quelques sacres ou vulgarités. Le sacre, le gros mot, le vocabulaire sexuel tout y passe pour exprimer un désarroi sans nom. Je ne m’exclus pas de la masse, qui me connait bien sait que lorsque ça va mal, je n’hésite à passer ma frustation ou à la faire connaître par un « tabarnac » retentissant! Cela me rappelle un essai que j’avais fait sur l’emploi du langage populaire ou vulgaire chez Jeanne-Mance Delisle, tout particulièrement dans « Un oiseau vivant dans la gueule ». Mais, je m’égare encore, je voulais seulement vous soumettre un petit texte et vous demander de choisir qui s’est commis dans cette haute réflexion :

« C’est pour ça que les vedettes fuient le défilé? Parce qu’elles ne veulent pas être associées à une « bande de moumounes exhibitionnistes »?

Ciboire…

Et le défilé du Carnaval de Rio, qu’est-ce que vous en pensez? Trouvez-vous qu’il ridiculise les hétérosexuels? Pourtant, il y a des filles à poil, des nénettes qui se montrent les fesses, des gars à moitié vêtus qui se frottent la bizoune sur des danseuses en sueur, des Brésiliennes qui se dandinent les boules à l’air… »

Je vous donne quelques choix :

a) André Arthur
b) Jeff Fillion
c) Franco Nuevo
d) Richard Martineau

Nadia Seraiocco

Spécialiste relations publiques et médias sociaux | conférencière | blogueuse

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