Après quelques années dans le secteur des relations publiques, je sais pertinemment que les stratèges et les « relationnistes » peuvent influencer la faÇon dont une nouvelle sera perÇue. Histoire de mœurs ou geste généreux, il n’est pas rare qu’il y ait une stratégie profitable – autocongratulation ou humiliation de l’ennemi – derrière chaque scoop. On trouve aujourd’hui, dans Le Devoir, sous la plume de Paul Cauchon, une histoire qui illustre assez bien ce propos : soit le jeu des relations publiques dans le conflit en ex-Yougoslavie.
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