Un bon ami, AOD de son peudonyme, a comblé mon désir de voir et de revoir les oeuvres de Woody Allen, en déposant chez moi deux coffrets DVD dédiés au petit monsieur névrosé.
Je me suis donc replongée dans l’univers d’Allen avec délices. Lorsque qu’un autre ami, anglo dois-je le préciser, a interrompu mon visionnement de Radio Days, il s’est dit fort surpris de découvrir une francophone éprise de Woody. « Are you a bit neurotic or something…? », a-t-il essayé de deviner. La névrose me lie peut-ètre un peu à ce cinéaste – pourquoi pas ? – mais je crois surtout que je me sens à la maison dans les familles juives turbulentes qu’il met en scène. Notre autre point commun serait assurément les tonnes d’anecdotes ou de potins qu’il collectionne et re-raconte au point de les transformer.