Nadia Seraiocco

Spécialiste relations publiques et médias sociaux | conférencière | blogueuse

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7 réflexions sur « Parlant du PQ »

  1. 406 commentaires en date du mardi 14 à 23h! Aurait-on enfin le sauveur du Québec ? 🙂 Entre autres, j’ai bien rigolé à la lecture du commentaire d’un anglophone de l’Ontario, qui nous ramène au beau vieux temps du référendum de 95, du genre « oui mais Québec on t’aime, pourquoi quitter le si beau Canada et sa mirifique diversité culturelle… »

    Et encore un avocat comme chef de parti! Est-ce que quelqu’un sait si le jeune homme en question a vraiment pratiqué son métier? Puisqu’il a été député dès l’âge de 23 ans… Ou si c’est comme notre Charest national, aussi avocat de son état et qui a complété tout juste son stage du Barreau avant d’entrer en politique.

    On vante son année aux States comme un plus dans sa vision d’un Québec dans le monde. Oui mais… un séjour d’un an dans un institut qui semble, selon toute apparence, fort conservateur et baigné dans le néo-libéralisme. Est-ce du formatage ou de l’ouverture d’esprit qu’on y gagne?

  2. Merci Marc, j’avais répondu par email à Vi, que j’allais vérifier, car à ma mémoire, André Boisclair n’avait pas de diplôme universitaire. Selon la bio que tu proposes, il n’a effectivement fait que deux ans d’université. Merci. NS

  3. Mea culpa. Coupable par association. Comme un politicien a étudié soit en économie, en droit ou en sciences politiques, comme me le rappelait Nadia, j’avais une chance sur trois, on dirait. Du reste, l’histoire du cabinet de consultants à Toronto qu’il devait censément rejoindre après son séjour américain m’avait fait aussi sautée aux conclusions… La prochaine fois, juré, je vérifie tout avant de me commettre!

    Cela dit, cela ne n’ôte pas ce que j’insinuais: tout comme Charest, il a fait l’essentiel de sa vie active sur la scène politique. Personnellement, je trouve quelque peu suspect ces politiciens de carrière, sans autre expérience que celle de la vie publique au « service » du citoyen. Pour ne nommer que Charest (encore lui) et Mario Dumont, je n’y vois là que la quête du pouvoir, peu importe de quel côté, plutôt qu’un engagement, un idéal, ou encore une véritable compréhension de cette idée de « servir » le bien public.

    Vision romantique? Sans doute. Ça doit être pour ça que j’ai toujours l’impression d’exercer symboliquement mon droit de vote, puisque mes candidats ne dépassent guère le 4% en général…

  4. André Boisclair vient tout juste d’annoncer sa candidature dans la course à la chefferie du parti Québécois.

    Il a affirmé son intention de rassembler les Québécois autour de la souveraineté (bonne chance!) et a aussi précisé (en réponse à un journaliste) que son homosexualité ne lui causerait pas de problème parce que ses concitoyens font preuve de tolérance… (ça reste à voir quand on connait l’attitude de rapace des médias).

    Pour ma part, je crois que Boisclair est depuis longtemps la seule figure qui me redonnerait le goût de m’intéresser au parti Québécois qui a nettement besoin d’être requinqué, tellement il est engoncé dans ses lubies syndicalistes et prisonnier de ses luttes internes et fratricides.

    Il y a quelques années, j’ai demandé à un de mes amis – bien placé au sein de la fonction publique – qui était selon lui le meilleur politicien. Il a immédiatement répondu ANDRÉ BOISCLAIR en précisant que son parcours était sans faute et qu’il avait « la stature d’un homme d’état »!

    Même l’animateur de radio André Arthur, après quelques lignes de son fiel habituel à l’endroit des politiciens, a convenu qu’il représente le seul candidat vraiment intéressant.

    Espérons qu’il ne fera pas trop de gaffes…

  5. J’aurais aimé faire cette course à la direction du parti québécois afin de présider les destinées de ma nation avec zèle mais je n’avais pas l’équipe nécessaire autour de moi. Je suis quand même heureux de voir que plusieurs aiment suffisamment ma nation pour vouloir la représentée, ici au Québec, et pour nous faire admettre, là-bas, aux nations unies comme tous les autres pays normaux. Selon la charte des nations unies, chacun d’entre nous les québécois avons le droit légitime de représenter notre nation là-bas car nous sommes une minorité francophone à l’intérieur de la majorité anglophone du Canada. Je l’ai fait au début des années 90. J’ai obtenu un constat de dix années consécutives de l’ONU à l’encontre du Canada. Quand j’ai écri à mon ami pour la vie maintenant, Monsieur Boutros Boutros-Ghali, le secrétaire-général des nations unies à l’époque, je savais que je sautais par dessus les hiérarchies politiques québécoises et canadiennes mais j’ignorais que ma démarche allait être fructueuse. Mes envolées oratoires sont très timides comparées à tous les candidats présents dans la course. A l’opposé d’envolées oratoires velléitaires, je suis très pragmatique. C’est ce côté pragmatique qui m’a servi à faire mon choix parmi les candidats en liste. A la fin, il ne me restait que deux favoris, Alain Dubuc et André Boisclair. J’ai éliminé Madame Marois pour sa réticence à reconnaitre son erreur dans le dossier des éducatrices en garderie. J’aimerais que le futur premier ministre prenne une partie de mon programme personnel que j’avais préparé pour être le chef mais surtout pour servir ma nation préférée et qu’il le sorte maintenant afin d’être assuré que le parti québécois forme le prochain gouvernement car c’est toujours celui qui sort son programme le premier qui gagne les élections comme le remarquait Bill Clinton duquel je me suis inspiré pour bâtir le mien. En résumé, mon programme est une rupture avec les actions gouvernementales irresponsables et avec les actions gouvernementales inéquitables. Il est disponible pour le prochain chef qui présidera les destinées de notre courageuse nation qui a bien besoin d’une personne de coeur et d’une personne efficace. J’ai choisi de donner mon appui à André Boisclair pour son efficacité passé à traiter ses dossiers mais je pourrais changer d’idée parce que le plus important pour moi c’est ma nation et de bien servir chacun de ma nation avec un bon programme personnel en supplément à l’excellent programme adopté lors du quinzième congrès national de juin dernier. En conclusion, j’aimerais que mon programme fasse son chemin même si je n’ai pu être candidat pour le bien-être de ma nation préférée.
    Bonne Vie!

  6. J’aurais aimé faire cette course à la direction du parti québécois afin de présider les destinées de ma nation avec zèle mais je n’avais pas l’équipe nécessaire autour de moi. Je suis quand même heureux de voir que plusieurs aiment suffisamment ma nation pour vouloir la représentée, ici au Québec, et pour nous faire admettre, là-bas, aux nations unies comme tous les autres pays normaux. Selon la charte des nations unies, chacun d’entre nous les québécois avons le droit légitime de représenter notre nation là-bas car nous sommes une minorité francophone à l’intérieur de la majorité anglophone du Canada. Je l’ai fait au début des années 90. J’ai obtenu un constat de dix années consécutives de l’ONU à l’encontre du Canada. Quand j’ai écri à mon ami pour la vie maintenant, Monsieur Boutros Boutros-Ghali, le secrétaire-général des nations unies à l’époque, je savais que je sautais par dessus les hiérarchies politiques québécoises et canadiennes mais j’ignorais que ma démarche allait être fructueuse. Mes envolées oratoires sont très timides comparées à tous les candidats présents dans la course. A l’opposé d’envolées oratoires velléitaires, je suis très pragmatique. C’est ce côté pragmatique qui m’a servi à faire mon choix parmi les candidats en liste. A la fin, il ne me restait que deux favoris, Alain Dubuc et André Boisclair. J’ai éliminé Madame Marois pour sa réticence à reconnaitre son erreur dans le dossier des éducatrices en garderie. J’aimerais que le futur premier ministre prenne une partie de mon programme personnel que j’avais préparé pour être le chef mais surtout pour servir ma nation préférée et qu’il le sorte maintenant afin d’être assuré que le parti québécois forme le prochain gouvernement car c’est toujours celui qui sort son programme le premier qui gagne les élections comme le remarquait Bill Clinton duquel je me suis inspiré pour bâtir le mien. En résumé, mon programme est une rupture avec les actions gouvernementales irresponsables et avec les actions gouvernementales inéquitables. Il est disponible pour le prochain chef qui présidera les destinées de notre courageuse nation qui a bien besoin d’une personne de coeur et d’une personne efficace. J’ai choisi de donner mon appui à André Boisclair pour son efficacité passé à traiter ses dossiers mais je pourrais changer d’idée parce que le plus important pour moi c’est ma nation et de bien servir chacun de ma nation avec un bon programme personnel en supplément à l’excellent programme adopté lors du quinzième congrès national de juin dernier. En conclusion, j’aimerais que mon programme fasse son chemin même si je n’ai pu être candidat pour le bien-être de ma nation préférée.
    Bonne Vie!

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