Fait étrange, la nuit dernière j’ai rêvé de l’ami d’une amie. Rien hors du commun, plutôt un de ces rêves ou lon échange quelques mots énigmatiques avec un presque étranger. Ce qui rend l’histoire intéressante, c’est que lami de lamie est Nicolas Dickner que j’ai brièvement rencontré en 2003.
À cette époque, je ne connaissais même pas son patronyme et il avait tout juste mentionné qu’il écrivait, avant de laisser son vélo en pension dans ma cour… Comme deux de mes amies proches ont des talents affirmés d’éditrices, il n’y avait là rien d’inhabituel. Sauf que je ne savais pas que Nicolas avait déjà un plan ou si vous préférez quil écrivait « vraiment ». Dois-je vous avouer que jai mis un moment à replacer sa bouille, lorsque je lai vu à côté de la jaquette de Nikolski. Si vous ne l’avez pas lu, je vous le conseille.
Revenons-en à nos moutons. Dans mon rêve, jétais chez José (coin Duluth et Hôtel-de-Ville) à Montréal avec des amis. Javais très peur de régler de ladition ce qui est irrationnel quand on connaît les prix de José -, Nicolas me disait que ce nétait rien et que tout se passerait bien. Il prenait ensuite ladition et en un coup dil me disait quil ny avait rien là dinquiétant.
Dois-je le souligner, mais ne crois pas que Nicolas me fasse un excellent conseiller financier, je crois plutôt que se sont mes velléités décriture que me triturent le subconscient