L’histoire est probablement plus touffue qu’il n’y paraît, mais à première vue, et nourrie par mon expérience de l’enseignement, je ne peux que me réjouir que la ministre de l’Éducation ait choisi la voie du bon sens. Il y a de la restructuration à faire dans le secteur de lenseignement, mais ce n’est certainement pas en éliminant le calcul des fautes des français que l’on aidera les étudiants à progresser. En fait, j’aime bien la méthode que la Cité collégiale applique, soit de calculer le nombre de fautes par cent mots. Ainsi, tout au cours de la session, on peut suivre le progrès des étudiants et produire un bilan qui, dans presque tous les cas, fait preuve du progrès accompli au cours de la session.
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