Dans ma vingtaine, je m’imaginais qu’un jour j’aurais cinq ou six enfants à moi, voire un foyer d’accueil. Je voulais une maison pleine d’amis et d’enfants (avec un très gros lave-vaiselle et une bonne, mais ça je l’ai compris plus tard). Disons, que ce rêve n’a jamais été très vendeur auprès des hommes que j’ai fréquenté. Enfin, les années passent et la possibilité même d’avoir un jour un enfant commence à être utopique, alors j’essaye d’être une matante pour les enfants de mes amies et ça m’amuse beaucoup – et je ne change pas de couches. C’est fou tout ce que les enfants peuvent raconter quand on leur parle simplement et on leur demande leur opinion sur tout ou rien.
7 réflexions sur « Conversation musicale »
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Les enfants qu’on nous prête sont les meilleurs enfants.
Oui et on a de la chance d’être drôles, parce qu’en travaillant un peu, ils nous visiteront peut-être encore dans notre vieil âge… 🙂
Ma déjà être chanceuse si mon chum me visite dans mon vieil âge… :S
Quoi? Tu parles! Il y a bien plus de chances que Lili visite dans trente ans sa matante Nadia qu’aucune de ses tantes « biologiques »… Je suis sûre que c’est toi qui vas lui faire boire son premier vodka-martini; ça marque un homme, quand même.
Ouais, c’est vrai que même maintenant mes amis visitent beaucoup mon « home » pour se faire servir des martinis et des canapés. Ça ne risque pas de changer et en plus, dans 20 ans il y aura peut-être des cigarettes anti-cancer et je pourrai fumer en racontant ma folle jeunesse.
Tu veux-tu être la matante de nos enfants aussi?
Mais tu sais bien que JE SUIS déjà la matante de Ben et JC, c’est dans le contrat à la page 8… 🙂