Poke ici, poke là

Quand j’ai commencé à facebooker, il y a plus d’une année, le poke n’était pas utilisé dans mon entourage. Je recevais néanmoins un poke ici et là, au gré de mes différentes photos de profil, la plupart du temps envoyé par de parfaits inconnus. J’en ai conclu que mes photos étaient bonnes. Enfin, le message était clair : les gars pokent des filles qu’ils souhaitent ardemment connaître – la pognez-vous? ardemment connaître, comme hot… Faut vraiment tout vous dire… Les filles font, j’imagine, la même chose, mais elles ne me le disent pas. Ce qui est très bien, car j’aime préserver ma grande naïveté.

Certains vous diront que le poke a plusieurs sens, par exemple une petit coucou en passant sans avoir à écrire ou un un petit coup virtuel sur l’épaule de votre interlocuteur. On a donc le choix entre l’air niais ou l’air lubrique. Et docteur Violette abonde dans le même sens.

Nadia Seraiocco

Spécialiste relations publiques et médias sociaux | conférencière | blogueuse

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8 réflexions sur « Poke ici, poke là »

  1. Niaisage… J’ignore (fonction « ignore ») sytématiquement tous les pokes qui ne sont pas d’amis très proches et de toute évidence destinés à me faire rire…

  2. Heureusement qu’il y a le poke sur facebook! Sinon y faudrait écrire des textes longs pour se les faire analyser pendant 2 jours avant d’avant un feedback…

  3. Hahaha! Le Fred, y’a que toi qui poke et qui fait rire toutes amies de filles avec ça! « Analyser pendant 2 jours », tu parles trop avec Sof… 🙂

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