Vous avez bien lu et moi j’ai bien écrit Dzama, Marcel de son prénom. Ce soir, pour aucune raison, je pensais à ses oeuvres, en maudissant cette nouvelle année à venir qu’on voudrait toujours meilleure que la précédente… Or, plutôt que de me lancer dans mes voeux pour vous – une tâche dont je m’acquitterai, n’ayez crainte, mais de Québec – je regarde avec vous ce petit film qui présente l’exposition de 2008, Event of the Ghost of the Past.
Mon affection particulière pour Dzama tient à cette inquiétante étrangeté et liée au rêve et à l’enfance. Chez Dzama, je retrouve le plaisir du jeu, des petits personnages soigneusement dessinés, mais aussi des terreurs toutes contenues dans la candeur fantastique de ses mises en scène étranges.