Montréal, ville flirt

Mais non, je ne travaille pas sur un nouveau branding pour la Ville de Montréal. Quoique… C’est plutôt que mon copain AJ, fin trentaine, divorcé comme il l’affiche sans ambages, s’est attardé à réfléchir sur le flirt bénin, comme je l’appelle, classant le phénomène parmi les particularités agréables de Montréal. Son billet est amusant, révélateur et remet en perspective ce qu’est bien vieillir.

Vous remarquerez que toutes les considérations sur le style, la confiance en soi, qui font des hommes à la fin trentaine ou début quarantaine des partis recherchés, peuvent aussi être appliqués à la femme du même âge. Prendre quelques années avec grâce, être branchée sans être ridicule, sont les quelques qualités qui font toute la différence.

Nadia Seraiocco

Spécialiste relations publiques et médias sociaux | conférencière | blogueuse

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4 réflexions sur « Montréal, ville flirt »

  1. Salut copine!

    Oh yes. It’s definitely not just something restricted to the menfolk!

    But while we’re talking about it, that’s my next post in the pipeline: Good branding is also good flirting.

  2. You bet! Flirting is marketing and you have to make sure people say nice thing about the AJ brand…

  3. ahh flirter c’est tellement agréable et je crois qu’en vieillissant, on devient des experts…Mais quelle joie de flirter même lorsque l’on sait que l’homme est pris ou qu’il n’arrivera rien. Sauf que c’est parfois dangereux pour une célibataire comme moi car ce flirt innocent peut nous chavirer. Il faut flirter avec des balises sans rien attendre et savoir reconnaître l’homme qui aura du potentiel pour ….plus 😉

  4. Se faire battre le coeur, se remonter le moral, toutes de très bonnes choses qui n’engagent à rien et qui donnent le sentiment d’être très, très, vivante! Le flirt peut nous chavirer, oui et en ce il nous rend plus humain, plus accessible… C’est comme le yoga des sentiments, ça rend plus flexible.

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